Coupe de France : à Nancy, l’Usam Nîmes a tremblé mais s’en est sortie, à l’expérience

Coupe de France : à Nancy, l'Usam Nîmes a tremblé mais s'en est sortie, à l'expérience

Coupe de France : à Nancy, l'Usam Nîmes a tremblé mais s'en est sortie, à l'expérience

Les Gardois ont validé leur qualification en 8e de finale. MAXPPP – Cedric JACQUOT

Accrochée par une séduisante formation nancéienne, la “Green Team” a néanmoins réussi à éviter le piège en terre lorraine.

Pour ce premier tour de Coupe de France, les Nancéiens, pensionnaires de Proligue ont mis tout leur cœur. Un sacrifice insuffisant pour terrasser une équipe de l’Usam bousculée mais très professionnelle dans sa gestion des rythmes…

La fiche technique

NANCY (D2)  28
USAM Nîmes  30

Palais des Sports Jean-Weille.
Environ 1.000 spectateurs.
Mi-temps : 12-15.
Arbitres : MM. Belabbes et Rahim.
USAM NÎMES : Gardiens : Soyez (11/23, dont 1/1 pen.), Pardin (6/22).
Poyet (1/2), Derisbourg (1/1), Rebichon (2/3), Gibelin (3/6), Konradsson (3/6), Vincent (4/6, dont 3/3 pen.), Costa Da Silva (3/4), Kamtchop-Baril (2/3), Gibernon (4/5), Acquevillo (1/2), Kaczor (2/2), Sanad (4/6, dont 1/2 pen.), Peyre, Chiron.

Bien que freinés dans leur élan par un Dylan Soyez en feu dans les cages gardoises toute la première période (48 % d’arrêts), les Lorrains ont tout d’abord brillé par leur très bonne entame (8-6, 13e), avant de baisser un peu en gamme face à la solide arrière-garde de la “Green Team”, tentés par le combat, les solutions individuelles et des duels… pas gagnés d’avance.

Un léger doute

Menés de trois buts à la pause (12-15), les partenaires d’Antoine Blanc essuyaient surtout un sévère éclat au retour des vestiaires (13-18, 14-19). Avant de remettre leurs habits de lumière, relancés par une défense acharnée, un jeu rapide, des contres foudroyants… En marche avant, le miracle se produisait dès la 39e minute sous la forme d’une égalisation inespérée (20-20).

Et il ne demandait qu’à se prolonger ! Mais entre un face-à-face perdu, deux passes dans les chaussettes, le rouge (plutôt sévère) d’Ernest Pineau-Rossi (56e) et quelques détails lourds de conséquence, c’est bien l’Usam qui donnait le dernier coup d’accélérateur (26-29, 57e) et s’imposait avec un surplus de lucidité (28-30). L’essentiel en quelque sorte…
François Vadot

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