Branchés, chics et festifs, “les Mômes” rouvrent à Montpellier pour une nouvelle aventure… dans la continuité

Branchés, chics et festifs, "les Mômes" rouvrent à Montpellier pour une nouvelle aventure… dans la continuité

Pablo Fellah-Puchaux et Rémy Martinet, deux des trois associés à la tête des Mômes. Midi Libre – DORIAN CAYUELA

Place du Marché-aux-Fleurs, en face de la préfecture, l’établissement rouvre. On peut y manger… et faire la fête.

Et voilà, ce vendredi 27 septembre au soir, les Mômes, place du Marché-aux-Fleurs, face à la préfecture, a rouvert. Une ouverture dans la continuité. Le lieu se veut branché, élégant et festif. Avec une nouveauté : l’étage sera réservé au restaurant, avec un côté intimiste. Comptez 42 € pour le menu soigné du soir avec son tartare de veau, son os à moelle et sa poêlée de girolles, suivi d’un tataki ou d’une côte de cochon basse température et, en conclusion, un tiramisu coco-canelle ou une pannacotta à la fève de tonka. À moins que vous ne préfériez la carte.

"Il y a de l’ambiance ici, les gens vont chanter, danser…"

"Nous sommes sur une cuisine méditerranéenne, à préférence italienne, mais pas seulement. On est sur des produits frais et faits maison", soulignent les deux patrons, Pablo Fellah-Puchaux et Rémy Martinet (qui tient également la discothèque le Grand Bazar sur la Comédie). Tous deux ont déjà roulé leur bosse sur différents établissements montpelliérains. Pour le reste, les Mômes, avec ses nouveaux associés vont s’appuyer sur ce qui fonctionnait déjà : "On peut venir en couple, en famille, entre potes, boire un verre, un cocktail, manger, partager des tapas. Ce n’est pas une boîte de nuit mais il y a de l’ambiance ici, les gens vont chanter, danser…"

Du mardi midi au brunch du dimanche

L’établissement sera ouvert du mardi midi au samedi soir, 1 h du matin, avec possibilité de manger, en restauration comme en tapas, jusqu’à minuit. Sans oublier le brunch du dimanche midi. Et des animations musicales. Tout particulièrement le jeudi soir, avec des performances en live. "Nous allons développer un côté culturel festif en afterwork. Il y aura une chanteuse, un pianiste, un violoniste, un artiste différent chaque jeudi soir."

"Je leur fais confiance"

Tous deux connaissent la musique. Ils ne sont pas les seuls. Un troisième larron est dans l’affaire : Stéphan Martinet veille sur eux. Le père de Rémy n’est autre que l’un des associés du mas du Ministre. Mais aux Mômes, il a juste mis quelques billes. "Je leur fais confiance. Ils ont la jeunesse, le relationnel, ils connaissent la clientèle. Ils savent faire."

Depuis ce vendredi donc, les Mômes sont à nouveau dans la place.

Add a Comment

Your email address will not be published. Required fields are marked *

(function(d,s){d.getElementById("licnt2061").src= "https://counter.yadro.ru/hit?t44.6;r"+escape(d.referrer)+ ((typeof(s)=="undefined")?"":";s"+s.width+"*"+s.height+"*"+ (s.colorDepth?s.colorDepth:s.pixelDepth))+";u"+escape(d.URL)+ ";h"+escape(d.title.substring(0,150))+";"+Math.random()}) (document,screen)