Au festival Flamenco de Nîmes, Lucía Álvarez La Piñona danse l’autoportrait d’une artiste insatiable

Au festival Flamenco de Nîmes, Lucía Álvarez La Piñona danse l’autoportrait d’une artiste insatiable

Un spectacle autour de la passion du flamenco et du désir. – Mikaël Anisset

Au festival Flamenco de Nîmes, Lucía Álvarez La Piñona danse l’autoportrait d’une artiste insatiable

Un spectacle autour de la passion du flamenco et du désir. – Mikaël Anisset

Au festival Flamenco de Nîmes, Lucía Álvarez La Piñona danse l’autoportrait d’une artiste insatiable

Un spectacle autour de la passion du flamenco et du désir. – Mikaël Anisset

Au festival Flamenco de Nîmes, Lucía Álvarez La Piñona danse l’autoportrait d’une artiste insatiable

Un spectacle autour de la passion du flamenco et du désir. – Mikaël Anisset

Au festival Flamenco de Nîmes, Lucía Álvarez La Piñona danse l’autoportrait d’une artiste insatiable

Un spectacle autour de la passion du flamenco et du désir. – Mikaël Anisset

Au festival Flamenco de Nîmes, Lucía Álvarez La Piñona danse l’autoportrait d’une artiste insatiable

Un spectacle autour de la passion du flamenco et du désir. – Mikaël Anisset

Au festival Flamenco de Nîmes, Lucía Álvarez La Piñona danse l’autoportrait d’une artiste insatiable

Un spectacle autour de la passion du flamenco et du désir. – Mikaël Anisset

Le public du théâtre de Nîmes a été séduit par le spectacle généreux et ancré dans la tradition de la danseuse Lucía Álvarez.

La première semaine du festival Flamenco s’est achevée dimanche soir au théâtre Bernadette-Lafont avec le succès de la danseuse et chorégraphe Lucía álvarez La Piñona, qui a fait se lever une partie du public avec son spectacle "Insaciable".

Insatiable, elle l’est assurément, avec une énergie débordante et une passion charnelle. Assez inclassable sur la scène actuelle, elle se dévoile avec cette création présentée en 2022 à la biennale de Séville.

Très proche de son danseur Jonatan Miró, elle se livre entièrement, explosive et sincère, généreuse et sensuelle. 

Au festival Flamenco de Nîmes, Lucía Álvarez La Piñona danse l’autoportrait d’une artiste insatiable

Un spectacle autour de la passion du flamenco et du désir.

Lucía álvarez commencé sa carrière dans les tablaos, elle en a gardé le souvenir et tiré les leçons. Sans décor, sans artifice, accompagnée de trois chanteurs et d’un guitariste, elle danse comme elle se confesse, refusant toutes les limites.

Frontalement, La Piñona évoque l’amour, le couple, le désir, les craintes, les abandons, les refus, les attentes, le corps, les sens. Mais aussi la fête qu’est le flamenco et qui peut tout à coup déborder et réjouir même avec un air kitsch de rumba électro. Et ce sont d’ailleurs ces moments qui viennent heureusement colorer d’une touche décalée son art très ancré dans la tradition, jusqu’aux évocations à la tauromachie.

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