“Avant de peindre, on secoue la bombe, et on y va par à-coups” : la fresque des collégiens de Taisson investit le passage Saint-Vincent

"Avant de peindre, on secoue la bombe, et on y va par à-coups" : la fresque des collégiens de Taisson investit le passage Saint-Vincent

Ce mardi 4 juin, les collégiens de Taisson étaient à l’ouvrage. MIDI LIBRE – CHARLES LEDUC

"Avant de peindre, on secoue la bombe, et on y va par à-coups" : la fresque des collégiens de Taisson investit le passage Saint-Vincent

Ce mardi 4 juin, les collégiens de Taisson étaient à l’ouvrage. MIDI LIBRE – CHARLES LEDUC

"Avant de peindre, on secoue la bombe, et on y va par à-coups" : la fresque des collégiens de Taisson investit le passage Saint-Vincent

Ce mardi 4 juin, les collégiens de Taisson étaient à l’ouvrage. MIDI LIBRE – CHARLES LEDUC

"Avant de peindre, on secoue la bombe, et on y va par à-coups" : la fresque des collégiens de Taisson investit le passage Saint-Vincent

Ce mardi 4 juin, les collégiens de Taisson étaient à l’ouvrage. MIDI LIBRE – CHARLES LEDUC

"Avant de peindre, on secoue la bombe, et on y va par à-coups" : la fresque des collégiens de Taisson investit le passage Saint-Vincent

Ce mardi 4 juin, les collégiens de Taisson étaient à l’ouvrage. MIDI LIBRE – CHARLES LEDUC

Les Jeux olympiques, tel est le thème retenu pour cette réalisation menée actuellement par quelque 140 élèves, dans le centre-ville d’Alès.

Alors qu’elle préparait, cet hiver, l’installation de sa boutique Sand’Alès rue Saint-Vincent, après avoir quitté la rue Albert-Ier, la gérante Alexandra Lagulhon partageait déjà son intention de livrer aux collégiens de Taisson les parois du passage Saint-Vincent, qu’elle voulait rouvrir. Depuis la semaine dernière, c’est chose faite !

"Les JO s’imposaient un peu", dit Alexandra Lagulhon

Ainsi, ce mardi 4 juin, dans l’après-midi, en présence de ses scolaires, Sam Labbaci, professeur d’arts plastiques, livraient ses consignes, carton et bombe de peinture en mains : "La technique, c’est un qui peint, et deux qui sécurisent la zone. Avant de commencer à peindre, on secoue la bombe, et on y va par à-coups…" D’ici au 21 juin, les quelque 120 élèves des quatre classes de 3e de l’établissement scolaire auront alors réalisé une fresque en lien avec les Jeux olympiques. "Les JO s’imposaient un peu", sourit Alexandra Lagulhon. "Et il fallait que ça parle aux jeunes !" Cette commerçante souhaite ainsi recouvrir les quatre longueurs de vitrines du passage qui étaient peintes en blanc "pour camoufler (ses) réserves".

Vers une exposition de l’ensemble des projets

Au préalable, chaque élève impliqué dans ce projet s’est penché sur une idée. Après qu’une a été sélectionnée, "tous ont réalisé de grands pochoirs durant quatre heures", explique Sam Labbaci. Le travail de peinture à l’aide de cartons mené, à raison de deux séances hebdomadaires de deux heures, viendra alors le temps des "pochoirs et finitions". Mais, déjà, l’enseignant et la gérante de Sand’Alès envisagent d’exposer "la majorité des travaux faits individuellement par ces adolescents".

L’ouverture du passage, "ça marche"

Alexandra Lagulhon se montre satisfaite d’avoir rouvert le passage Saint-Vincent, qui était fermé au public depuis 2008. "Les premiers jours, c’était rigolo : les gens n’osaient pas l’emprunter", déclare-t-elle. "Mais ça marche. J’étais sûre que ça allait prendre !"

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