“Contrairement à ce qui a été dit” : voici pourquoi la folle théorie sur la mort de Michel Blanc ne tient plus la route

Après la mort de Michel Blanc le 4 octobre 2024, de nombreuses informations ont été repartagées au sujet des causes de son décès. Rien n’était certain jusqu’à maintenant, ce qui a laissé le champ libre à des thèses conspirationnistes. Désormais, on sait qu’aucun produit de contraste n’a pu être à l’origine de sa mort.

La disparition d’un visage aussi emblématique du cinéma français ne pouvait pas passer inaperçue, et rester indemne face aux incertitudes qui demeuraient sur les causes de sa mort.

Mardi, Marianne a donné de nouvelles précisions sur les raisons de son décès. Excluant notamment la piste d’une réaction allergique suite à l’injection d’un produit de contraste pour passer un scanner.

Pas de produit contraste

Selon nos confrères, aucun produit de contraste n’a été administré à Michel Blanc : "Contrairement à ce qui a été dit, il ne lui a pas été injecté de produit de contraste puisqu’aucun examen radiologique n’a eu lieu."

Aussi, la médecine considère la cause du décès comme étant naturelle, note l’hebdomadaire. Le parquet de Paris n’a pas demandé l’ouverture d’une enquête.

La théorie tombe à l’eau

La thèse de la réaction allergique à un produit de contraste était privilégiée jusque-là. Il n’en fallait pas moins pour que les réseaux sociaux s’emparent du sujet. Ces substances sont décriées par les sphères conspirationnistes : l’iode ou le gadolinium. Sur X, les partisans de la théorie étaient certains : "C’est ce produit qui a tué Michel Blanc."

Il faut rappeler que les produits de contraste servent avant tout d’outils de diagnostic. Et que ses rarissimes effets délétères sont imprévisibles, et le plus souvent très bien gérés par les médecins présents dans les cabinets de radiologie. Inutile de fabriquer de la peur autour de ces substances, utilisées par des professionnels à dessein de guérir.