Dans une ambiance de fête, la Marche des fiertés rassemble à Nîmes autour de 1 300 personnes

Dans une ambiance de fête, la Marche des fiertés rassemble à Nîmes autour de 1 300 personnes

Un cortège pacifiste et joyeux ce samedi pour la Marche des fiertés. MIDI LIBRE – MiKAEL ANISSET

Dans une ambiance de fête, la Marche des fiertés rassemble à Nîmes autour de 1 300 personnes

Un cortège pacifiste et joyeux ce samedi pour la Marche des fiertés. MIDI LIBRE – MiKAEL ANISSET

Dans une ambiance de fête, la Marche des fiertés rassemble à Nîmes autour de 1 300 personnes

Un cortège pacifiste et joyeux ce samedi pour la Marche des fiertés. MIDI LIBRE – MiKAEL ANISSET

Dans une ambiance de fête, la Marche des fiertés rassemble à Nîmes autour de 1 300 personnes

Un cortège pacifiste et joyeux ce samedi pour la Marche des fiertés. MIDI LIBRE – MiKAEL ANISSET

Dans une ambiance de fête, la Marche des fiertés rassemble à Nîmes autour de 1 300 personnes

Un cortège pacifiste et joyeux ce samedi pour la Marche des fiertés. MIDI LIBRE – MiKAEL ANISSET

Ce samedi 29 juin, la communauté LGBTQI + a défilé pour réclamer davantage de droits et dénoncer les discriminations et violences envers les minorités sexuelles et de genre.

Ils et elles sont venu(e) s des quatre coins du Gard, des départements limitrophes et plus généralement de tout le grand Sud, ce samedi 29 juin, à Nîmes, pour participer à la mobilisation annuelle, incontournable.

Dès 16 heures, autour de 1 200 personnes en famille, et plus généralement entre amis, ont manifesté sur les boulevards (Courbet, Gambetta et Victor-Hugo), pour revendiquer tout simplement le droit à la différence, ou encore l’égalité en droit.

Régression des libertés

Malgré la menace de l’orage, au pied des quatre chars répartis au sein d’un dense cortège, autant dire qu’ils ont su mettre l’ambiance en cœur de ville. Et pour la bonne cause !

Entre la musique techno entraînante, les tenues délurées et colorées, les chorégraphies sensuelles des uns et des autres et – surtout – tous ces sourires, rien, exceptées les punchlines chocs sur leurs pancartes, n’aura laissé transparaître leurs inquiétudes.

Grâce à la musique, à la danse, et plus généralement à la fête, ces lesbiennes, gays, bisexuel (le) s, trangenres, queers ou encore transexuels, ont su sensibiliser avec finesse et intelligence l’opinion, sur la régression de leurs libertés, ou encore l’explosion des discriminations et violences dont les membres de leurs communautés sont de plus en plus la cible en France. À la veille d’une élection qu’ils jugent, sur ces questions aussi, tout particulièrement déterminante.

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