“Il peut être odieux, excessif, provoc, mais il n’est pas un agresseur sexuel” : Nicolas Bedos défendu par sa compagne

"Il peut être odieux, excessif, provoc, mais il n'est pas un agresseur sexuel" : Nicolas Bedos défendu par sa compagne

Pauline Desmonts a pris la défense de son compagnon Nicolas Bedos sur le plateau de l’émission Quelle Epoque! ce samedi 20 janvier. MAXPPP – FRANCK CASTEL

Le cinéaste est visé par une enquête préliminaire pour viol et agression sexuelle depuis le mois de juillet 2023. Il sera jugé en septembre prochain pour agression sexuelle et harcèlement sexuel. 

Invitée de l'émission Quelle Epoque! ce samedi 20 janvier, la compagne de Nicolas Bedos, Pauline Desmonts, a pris la défense de l'acteur visé par des accusations d'agressions sexuelle et de harcèlement sexuel par quatre femmes. 

"Un problème contextualisé à la fin de soirée" 

Selon elle, le comportement de son conjoint n'a rien à voir "avec les affaires  dont on parle beaucoup en ce moment, qui sont focalisées sur le cinéma français, tous ces comportements de prédation, de domination masculine sur les plateaux".

"La nature et le contexte des faits présumés sont très différents. On parle d'un problème d'excès, de fête, d'alcool dans un cadre vraiment festif (…) C'est quelque chose qui est contextualisé à la fin de soirée", poursuit-elle. 

Sur le plateau de l'émission diffusée sur France 2, Paulines Desmonts a reconnu les défauts de l'homme qui partage sa vie en affirmant "Oui, il peut être odieux, il peut être excessif, provoc, tout ce qu'on veut" mais en en nuançant "ce n'est pas un agresseur sexuel". 

Jugé en septembre 2024

Interrogée au sujet d'éventuels regrets qu'éprouverait Nicolas Bedos face aux faits qui lui sont reprochés, sa compagne a répondu "S'il regrette quelque chose, c'est d'avoir continué à sortir comme un ado qu'il n'est plus. Toute cette affaire a accéléré cette prise de conscience, c'est un problème qu'il soigne". 

L'acteur et réalisateur Nicolas Bedos sera jugé en septembre 2024 pour agression sexuelle lors d'une soirée en boîte de nuit en mai dernier – il avait alors embrassé une femme dans le cou sans son consentement – ainsi que pour harcèlement sexuel lors d'une soirée en 2018 sur une autre femme. 

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