La fièvre de la course à pied s’empare des rues de Montpellier avec la première édition réussie de l’Ekiden
|L’Ekiden, une course qui vient du Japon. Midi Libre – giacomo italiano
700 bénévoles participent à l’organisation de l’événement. Midi Libre – giacomo italiano
Le départ des courses au niveau de l’Arc de Triomphe. Midi Libre – giacomo italiano
Motivé ! Midi Libre – giacomo italiano
On passe le relais avec le sourire ! Midi Libre – giacomo italiano
Dernière côte avant l’arrivée en haut du Peyrou. Midi Libre – giacomo italiano
le public au rendez-vous pour encourager les coureurs. Midi Libre – giacomo italiano
Entre amis, en famille ou entre collègues. Midi Libre – giacomo italiano
Des couleurs en ville ! Midi Libre – giacomo italiano
Filles, garçons, tout le monde court ! Midi Libre – giacomo italiano
A midi, l’heure chaude… Midi Libre – giacomo italiano
1 600 coureurs pour l’Ekiden au total. Midi Libre – giacomo italiano
Des coureurs avec ou sans écouteurs. Midi Libre – giacomo italiano
Quand les coureurs remplacent les voitures en ville. Midi Libre – giacomo italiano
Heureux de courir ! Midi Libre – giacomo italiano
Du monde prêt à s’élancer. Midi Libre – giacomo italiano
Après la course de 5 km samedi matin aux Arceaux, l'Ekiden a rempli le centre de Montpellier de coureurs hétéroclites dans une ambiance festive. Demain, place au semi et au marathon, dès 8 heures.
De l'Arc de Triomphe à l'Institut Agro, les dossards aux couleurs du Montpellier run festival ont empli les rues de la ville. Après l'annulation de la course enfant vendredi pour raisons de sécurité, l'événement a pris une tout autre tournure ce samedi. Ils sont 1 600 à s'être inscrits à l'Ekiden, une course en relais de six personnes qui parcourent la distance d'un marathon (42,195 km). Tous ne mettent pas leur muscles à contribution sur la même distance : 5 km pour le premier relais, 10 km pour le 2e, 5 km pour le 3e, 10 km pour le 4e, 5 km pour le 5e, 7,195 km pour le 6e. De quoi composer une équipe hétéroclite même si chacun n'a pas la même endurance !
Courir pour le fun, l'hygiène de vie, l'estime de soi !
Léa, qui a couru le marathon de Barcelone en début d'année, a motivé les salariés d'Habitat jeune à constituer deux équipes : une de salariés et une de jeunes. "On s'est entraîné pendant deux mois à raison d'une sortie par semaine, explique l'animatrice. "Courir aide à avoir une bonne hygiène de vie. On pense alimentation, sommeil, hydratation avant, pendant, après. On se soutient mutuellement et des liens se créent. Cela améliore l'estime de soi et procure un sentiment d'appartenance à un groupe." Avec tous ces arguments, elle n'a eu aucun à motiver les troupes. A l'image de Pauline, 22 ans, adpte du cyclisme mais qui n'avait jamais dépassé les 2 km de course à pied. "Je voulais améliorer mes performances et puis c'est un défi. Ca fait du bien mentalement et physiquement." De nombreuses entreprises (GGL, Royal Canin, Virbac, Aixial…) ont aussi chaussé leurs baskets en équipe.
Une véritable réussite pour cette première édition à Montpellier avant le coup d'envoi du marathon en solo demain matin.