Les haltérophiles indonésiens parachèvent leur préparation olympique à Clermont-l’Hérault

Les haltérophiles indonésiens parachèvent leur préparation olympique à Clermont-l’Hérault

La délégation indonésienne s’entraîne à Clermont. Midi Libre – JEROME MOUILLOT

Les haltérophiles indonésiens parachèvent leur préparation olympique à Clermont-l’Hérault

EKO YULI IRAWAN participe à ses 4è JO. Midi Libre – JEROME MOUILLOT

Les haltérophiles indonésiens parachèvent leur préparation olympique à Clermont-l’Hérault

Nurul Akmal prend la pose devant le poster de la championne Clermontaise Gaëlle Nayo Ketchanke. Midi Libre – JEROME MOUILLOT

Avant Paris, la délégation indonésienne a posé ses valises dans la capitale Clermontaise.

Un concentré de muscles, de détermination… mais aussi de sourires. Depuis quelques heures, la délégation indonésienne d’haltérophilie a posé ses valises à Clermont-l’Hérault pour parachever sa préparation, dans l’Hexagone, à quelques jours des Jeux Olympiques de Paris. Un choix qui ne doit rien au hasard alors, qu’en la matière, les équipements de capitale Clermontaise font partie du club très serré des centres d’entraînements retenus pour les JO. Pas de hasard non dans ce choix quand le président du club sports Clermont, Bernard Soto, apprenait, le printemps dernier, alors qu’il faisait partie du corps arbitral pour la coupe du monde d’haltero à Phuket, en Thaïlande, que la délégation indonésienne était en quête d’un point de chute et d’entraînement dans l’Hexagone… Résultat, 9 personnes : trois entraîneurs, trois kinés et trois athlètes indonésiens affinent leur préparation, d’arrache pied, à Clermont avant les Jeux qui débutent le 26 juillet.

Une fierté de recevoir la délégation indonésienne

Et ces sportifs asiatiques de très haut niveau ne sont pas venus faire de la figuration à l’Arena de Paris. Eko Yuli Irawan (voir photo) a fini deuxième à Tokyo, troisième à Rio et à Londres et vient donc, à 35 ans, disputer à Paris ses quatrièmes rencontres olympiques dans sa catégorie (61 kg). Son jeune confrère, âgé de 21 ans, Rizki Juniansyah est quant à lui recordman du monde dans sa catégorie (73 kg). Chez les dames, Nurul- Akmal (voir photo) a fini 5e à Tokyo et a décroché l’argent aux Jeux d’Asie. À 31 ans, elle vient à Paris avec la ferme intention d’étoffer son palmarès. Le trio indonésien à donc toutes les chances de briller à Paris. En attendant, le soir venu, ce sont les yeux des haltérophiles Clermontais en herbe qui brillent quand ils ont la chance de pouvoir observer l’entraînement de ces athlètes asiatiques, multimédaillés. "Ils ont des étoiles dans les yeux", confirme Laurent Pedreno, entraîneur au club Clermontais. Et quand les haltérophiles tirent sur leurs poids, c’est tout un club qui est aussi tiré vers le haut. "C'est  vraiment une fierté pour nous de recevoir cette délégation. C’est d’autant plus une fierté que, cette année, contrairement aux deux dernières fois, nous n’aurons pas d’athlète Clermontais aux Jeux", mesure Bernard Soto, président du club.

Clermont à Paris…

Le Clermont Sports Haltérophilie sera tout de même bien présent, cette année encore aux JO puisque Bernard Soto fera partie du corps arbitral, Laurent Pedreno fait quant à lui partie de la cellule haute performance de la Fédération Française. Last but nos least, la Clermontaise Gaëlle Nayo-Ketchanke au palmarès impressionnant, fait partie du pool de consultants de France télévision… 

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