PODCASTS. “Incroyables destins” : Jeanne Galzy, femme libre, féministe discrète et écrivaine oubliée

PODCASTS. "Incroyables destins" : Jeanne Galzy, femme libre, féministe discrète et écrivaine oubliée

Jeanne Galzy a obtenu le prix Femina en 1923. MIDI LIBRE

Dans ce nouvel épisode d' "Incroyables destins", découvrez la vie de cette écrivaine d’avant-garde, insoumise et dont les écrits résonnent encore.

L’insoumission de ses parents est-elle le fondement de son existence ? Jeanne Galzy est née en 1883 d’une mère protestante et d’un père catholique. Une union œcuménique peu fréquente en cette fin du XIXe siècle corsetée qui dénote deux esprits libres, affranchis et insoumis.

Ainsi la petite Jeanne grandit-elle au 27 rue de la Grand-rue à Montpellier, bercée par des parents ouverts d’esprits qui l’encouragent à faire des études. "Elle a eu une éducation importante pour une fille de l’époque. Jeanne Galzy – qui s’appelait en réalité Baraduc -, a intégré Clémenceau, le premier lycée pour jeunes filles en France, créé en 1880", raconte Michèle Verdelhan-Bourgade auteure de “Jeanne Galzy. Une femme de lettres hors du commun”.

L’élève Jeanne poursuit ses études à l’école normale supérieure et y obtient “l’agrégation féminine de lettres” en 1911.

Elle vient ensuite très tôt à l’écriture – influencée par sa mère passionnée de poésie – et écrit des vers publiés dans la grande revue littéraire de l’époque, Mercure de France. Ainsi commence sa carrière d'écrivaine. Jusqu'à obtenir le prix Femina en 1923…

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