Un gravel man comme un galop d’essai pour le cycliste Sébastien Esbalin

Un gravel man comme un galop d’essai pour le cycliste Sébastien Esbalin

Un gravel man comme un galop d’essai pour le cycliste Sébastien Esbalin

Sébastien Esbalin, la passion alliée à la détermination, ici lors d’une course gravel en 2023. Midi Libre – D.R.

Après avoir bouclé l’épreuve gruissanaise en 24 h et 37 m, l’Alésien s’affichera, fin juillet, au départ du Bikingman de Villard-de-Lans (38), sur une distance de 1 000 km, comprenant 19 500 mètres de dénivelé total ! Un parcours d’exception dessiné sur les conseils des vétérans Jacques Barge et Marc Lalande.

Le dépassement de soi et au-delà. En s’affichant, fin avril, au départ d’un gravel man Occitanie de 600 km, un dénivelé positif de 6 000 mètres, avec un départ à 6 heures du matin et 60 h de temps pour boucler l’affaire, l’alésien Sébastien Esbalin s’est convaincu de sa détermination pour mieux faire encore.
Avec un chrono de 24 heures et 37 minutes, effectué dans sa version route, le quinquagénaire considère la chose comme un premier rendez-vous afin d’atteindre l’objectif annuel : le Bikingman, fin juillet à Villars- de-Lans (38) comptant 1 000 km de distance pour un dénivelé positif de 19 500 mètres !

L’ultra amène liberté, découverte et dépassement de soi. Chacun à son allure, chacun sa découverte et chacun son défi personnel.

Passionné de l’ultradistance, découvert sur le tard il y a 3 ans et demi, amateur de Petite reine depuis toujours, fondateur d’un club baptisé “Les Cyclistes cévenols”, les valeurs de défi sportif comme de découverte des milieux naturels d’exception ont été confirmés par cette course à Gruissan. Nourissant des souvenirs impérissables à l’image de cette arrivée sur le plateau d’Olonzac, après un col de 16 km de distance et une journée de course dans les pattes, lorsqu’une dame lui offre un petit-déjeuner ! Un instant rare de partage alors que l’homme est éprouvé physiquement et mentalement.

Un projet : créer une épreuve d’ultra en Cévennes

 

Préparé par Sébastien Berlier sur le plan physique comme psychique, Sébastien Esbalin approfondit sa pratique dans la gestion du sommeil, des temps de repos, des batteries de téléphone, des sacoches de vêtement comme des éléments techniques du vélo alors que " des cols magnifiques, des gorges à couper le souffle et une mixité mer et montagne inédite " permettent de faire refluer la douleur de l’effort.
Arrivé deuxième de cette épreuve, " l’essentiel est ailleurs " pour cet amoureux fou des Cévennes qui souhaite en faire le cadre d’une épreuve d’ultradistance. " L’ultra amène liberté, découverte et dépassement de soi. Chacun à son allure, chacun sa découverte et chacun son défi personnel. "
Le prochain est de taille mais un Cévenol habitué à grimper le col de la Luzette, juge de paix de sa propre motivation, ne tremblera pas au pied du bleu Vercors.

Une page Facebook intitulée “Les cyclistes cévenols” permet de suivre l’actualité de Sébastien Esbalin comme du cyclisme en Cévennes. Je m’abonne pour lire la suite

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