Arthur Cazaux à l’US Open : “J’ai appris pas mal de choses et je me sens prêt” après un été sans coach à ses côtés

Arthur Cazaux à l'US Open : "J'ai appris pas mal de choses et je me sens prêt" après un été sans coach à ses côtés

Arthur Cazaux à l'US Open : "J'ai appris pas mal de choses et je me sens prêt" après un été sans coach à ses côtés

Coiffé de ses nouvelles tresses, Arthur Cazaux affronte Pablo Carreño Busta dans la soirée ce lundi. Instagram Artur Cazaux.

Arthur Cazaux arrive à New-York et son US Open sans pression particulière après un été perturbé par son changement de staff, alors qu'il affronte au premier tour Pablo Carreño Busta ce lundi 26 août dans la soirée aux Etats-Unis.

Quoi de mieux que la “Grosse Pomme” pour fêter son anniversaire accompagné de quelques proches, avant de rejouer l’un des tournois les plus prestigieux au monde ? Sans doute pas grand-chose.

"New-York, c’est une ville très sympa.Mais c’est une ville qui bouffe beaucoup d’énergie quand on est dans un tournoi, tempère Arthur Cazaux. Donc j’évite de trop visiter, j’essaye de rester tranquille et garder le plus d’énergie pour mon premier tour et pourquoi pas plusieurs matches."

À maintenant 22 ans depuis trois jours, le Montpelliérain ayant explosé aux yeux de tous grâce à un magnifique parcours à l’Open d’Australie, a une belle occasion de croquer dans la pomme de cet USOpen, où il n’a jamais gagné de match dans le tableau final.

Sans pression

Et qu’il débute ce lundi soir face à l’Espagnol Pablo Carreño Busta, sans pression. "Je ne fais pas partie des favoris ni des outsiders, je ne suis pas très attendu. Mais je sais, qu’au fond de moi, je suis capable de battre beaucoup de très bons joueurs. Le principal c’était d’arriver prêt à l’USOpen. Je le suis donc j’ai hâte de voir ce que ça va donner", éclaire le 97e mondial, désormais laissé tranquille par son corps et les pépins physiques.

Le voyage avant d’arriver au dernier tournoi du Grand Chelem de la saison n’a pourtant pas été sans encombres. Juste avant Wimbledon – où il s’est imposé pour la première fois de sa carrière cette année – Cazaux a effectivement choisi de se séparer de son entraîneur depuis deux ans avec l’objectif de voir plus haut.

"J’ai fait pas mal de tests avec des coaches, donc ce n’était pas le meilleur timing pour trouver de la stabilité dans mon jeu cet été, explique l’Héraultais. Je n’ai pas forcément joué mon meilleur tennis mais j’ai appris pas mal de choses et je me sens prêt."

Dynamique positive

Pour autant, Cazaux reste sur une victoire intéressante au premier tour du tournoi ATP250 de Winston-Salem contre l’ex N.22 et actuel 73e, le Néerlandais Botic van de Zandschulp (6-1, 7-6 [3]) avant de s’incliner d’un rien au deuxième tour contre le 65e mondial, l’Américain Rinky Hijikata (6-4, 3-6, [4] 6-7).

Puis d’affronter ce lundi Carreño Busta, ancien N.10 mondial, revenu de blessure cette année. "Je sais que c’est un bagarreur comme moi, et qu’il a eu de bonnes victoires ces dernières semaines, relate Cazaux. Ça va être un gros match, un gros combat."

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