Flamme olympique à Montpellier : la magie a opéré devant un millier d’écoliers au stade Phillipidès

Flamme olympique à Montpellier : la magie a opéré devant un millier d’écoliers au stade Phillipidès

La flamme olympique au stade Philippidès Midi Libre – GIACOMO ITALIANO

Flamme olympique à Montpellier : la magie a opéré devant un millier d’écoliers au stade Phillipidès

La flamme olympique au stade Philippidès Midi Libre – GIACOMO ITALIANO

Flamme olympique à Montpellier : la magie a opéré devant un millier d’écoliers au stade Phillipidès

La flamme olympique au stade Philippidès Midi Libre – GIACOMO ITALIANO

Porté par sa capitaine Jeanne Rossarie, le relais collectif de la flamme olympique a fait vibrer l’enceinte montpelliéraine remplie d’enfants.

Tout à coup, après de longues minutes d’attente, la flamme est apparue. La tribune du stade Philippidès a chaviré, la magie a opéré.

Le relayeur précédent dans sa tenue blanche floquée Paris 2024 est enfin entré dans l’enceinte et a transmis la flamme à Jeanne Rossarie. L’enseignante à l’UFR-Staps âgée de 33 ans l’a ensuite fait passer de main en main aux 24 membres du relais collectif composé d’athlètes spécialistes d’haltérophilie, une des disciplines olympiques et paralympiques.

"Chaque relayeur fait partie de l’histoire"

La délégation s’est alors mise à courir sur la piste bleue du stade montpelliérain derrière sa capitaine sous les yeux de Michaël Delafosse, de la maire de Paris Anne Hidalgo et d’élus locaux : "C’était intense et court, j’ai eu l’impression de revivre les émotions du sport, expliquait Jeanne Rossarie une fois que tout était fini. C’est tout un symbole d’avoir vécu ça avec mes étudiants de l’UFR-Staps. En tant qu’enseignante, c’était doublement beau. Ils vont se souvenir de ce moment toute leur vie, comme moi."

Derrière la main courante, les proches de Jeanne Rossarie partageaient le moment avec fierté : "Mon père, je crois qu’il a pleuré, moi aussi un petit peu. J’ai déjà pu expliquer à mes deux filles, ce que représentaient les Jeux, les valeurs du sport. Les JO, c’est LE rendez-vous alors chaque relayeur fait partie un peu de l’histoire."

"Un grand honneur d’avoir participé"

Troisième des quatre relayeurs prévus sur l’habituelle piste d’entraînement de Kévin Mayer, David Bossian, président de la Ligue Occitanie et secrétaire générale de la fédération d’haltérophilie, savourait ces instants : "C’est magique, ça n’arrive qu’une fois dans une vie, c’est un grand honneur d’avoir pu participer à ce relais. On en rêve, y être c’est formidable."

Le dirigeant se réjouissait de la mise en lumière sur sa discipline : "Une fois tous les quatre ans, on parle d’haltérophilie, le reste du temps, c’est un sport mineur. On a la chance d’avoir un gros club universitaire à Montpellier et le plus gros club français à Clermont l’Hérault."

Avant ces quelques minutes éphémères, environ 1200 écoliers de Montpellier, de Mende et même de Tahiti ont profité d’animations sportives, le tout animé par un speaker qui a ambiancé le stade. Pour ces jeunes gens comme pour Jeanne Rossarie et les membres du relais collectif, ce lundi 13 mai restera dans les mémoires.

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