La sobre poésie d’Olga Pericet ouvre le festival Flamenco de Nîmes

La sobre poésie d'Olga Pericet ouvre le festival Flamenco de Nîmes

Olga Pericet ouvre le festival avec une variation autour de la guitare. – Mikaël Anisset

La sobre poésie d'Olga Pericet ouvre le festival Flamenco de Nîmes

Olga Pericet ouvre le festival avec une variation autour de la guitare. – Mikaël Anisset

La sobre poésie d'Olga Pericet ouvre le festival Flamenco de Nîmes

Olga Pericet ouvre le festival avec une variation autour de la guitare. – Mikaël Anisset

La sobre poésie d'Olga Pericet ouvre le festival Flamenco de Nîmes

Olga Pericet ouvre le festival avec une variation autour de la guitare. – Mikaël Anisset

La sobre poésie d'Olga Pericet ouvre le festival Flamenco de Nîmes

Olga Pericet ouvre le festival avec une variation autour de la guitare. – Mikaël Anisset

La sobre poésie d'Olga Pericet ouvre le festival Flamenco de Nîmes

Olga Pericet ouvre le festival avec une variation autour de la guitare. – Mikaël Anisset

La sobre poésie d'Olga Pericet ouvre le festival Flamenco de Nîmes

Olga Pericet ouvre le festival avec une variation autour de la guitare. – Mikaël Anisset

La sobre poésie d'Olga Pericet ouvre le festival Flamenco de Nîmes

Olga Pericet ouvre le festival avec une variation autour de la guitare. – Mikaël Anisset

La 34e édition du festival Flamenco de Nîmes a débuté ce mercredi soir au théâtre Bernadette-Lafont, avec "La Materia" de la danseuse Olga Pericet. 

Le festival Flamenco de Nîmes change d’ère avec une nouvelle direction, mais ne change pas d’air, toujours fidèle à l’esprit d’aventure, quitte à désarçonner certains aficionados… Ce mercredi, au théâtre Bernadette-Lafont, la danseuse Olga Pericet ouvrait la 34e édition avec "La Materia", deuxième volet d’un cycle autour du luthier Antonio Torres, père fondateur de la guitare espagnole moderne. Le fil conducteur est parfois flou et le spectacle un peu décousu, mais plusieurs beaux moments viennent illuminer cette prestation.

Olga Pericet déploie sa poésie avec intensité et sobriété, dirigeant le danseur contemporain Daniel Abreu, tour à tour fauve, derviche ou charmeur pour des duos où les corps complices et en osmose se livrent, entre sensualité et provocation, séduction et évitement. Les deux se jouent des codes de leurs disciplines, pour aller l’un vers l’autre.

En complicité avec Daniel Abreu

La guitare, objet du spectacle, apparaît à plusieurs moments dans sa matérialité boisée, simple planche d’abord, puis donnant de l’envergure à Daniel Abreu ou de l’élégance à la silhouette de la danseuse. Elle prend surtout une multitude de couleurs entre les mains de José Manuel León, tour à tour flamenca, blues, folk, électrique, slave ou cubaine.

Cela permet à Olga Pericet et à son danseur de voyager à travers une grande variété d’univers, toujours de façon charnelle, jusqu’à une transe hypnotique et stroboscopique sur un rythme industriel poussant le flamenco dans ses limites.

Le festival se poursuit ce jeudi soir avec l’un de ses temps forts, le concert de la sensation du moment, le chanteur Israel Fernández.

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