Législatives dans l’Hérault : les deux candidats encore en course réagissent au désistement de Patricia Miralles, sur la 1re circonscription

Législatives dans l'Hérault : les deux candidats encore en course réagissent au désistement de Patricia Miralles, sur la 1re circonscription

Jean-Louis Roumégas et Josyan Oliva s’opposeront ce dimanche au second tour des législatives. MIDI LIBRE

La députée sortante (Ensemble) et secrétaire d'État Patricia Miralles a annoncé ce mardi 2 juillet son retrait du deuxième tour de la législative, laissant face à face les candidats LR/RN et Nouveau Front populaire.

Les deux derniers candidats en lice sur la 1re circonscription de l'Hérault ont réagi, ce mardi 2 juillet, au retrait de la candidature de la députée sortante Patricia Miralles. La candidate Ensemble était arrivée en troisième position lors du premier tour, avec 22,54 % des suffrages. Les voix de ses électeurs seront la clé du vote qui se profile, ce dimanche 7 juillet.

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Josyan Oliva (LR Ciottiste-Rassemblement national) : "J’ai pris acte de ce désistement qui était à prévoir. Je remarque surtout que Patricia Miralles a été très claire sur la forme en ne passant aucune consigne de vote. Elle connait mon parcours. Elle sait d’où je viens. Je ne suis pas inquiet, je vois même cela d’un bon œil. Je suis convaincu que ses électeurs ne feront pas le choix de la gauche dimanche, surtout dans une alliance où l’on retrouve les extrêmes."

Jean-Louis Roumégas (EELV-Nouveau Front populaire) : "Je salue cette décision courageuse et ô combien difficile à prendre de Patricia Miralles. C’est une décision républicaine qui s’imposait. Humainement, je sais que c’est un choix compliqué. Je lui ai d’ailleurs envoyé un message. Mais son désistement permet de clarifier la situation sur la première circonscription de l’Hérault. Dimanche, les électeurs devront choisir entre le Nouveau Front populaire ou le RN. Et je suis persuadé que les électeurs Renaissance écouteront l’appel du Président. Pas une seule voix pour l’extrême droite. J’en profite pour dénoncer avec force les attaques dont elle a été victime."

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